__ Comité de Salut Public du T.G.I. de Saint Malo Dinan __
jeudi 14 juin 2012
lundi 14 novembre 2011
Il veut sauver sa fille des "mains de ses bourreaux"
http://www.radioscoop.com/
A SAINT-MALO aussi un père protecteur, est isolé de sa fille
depuis le 08 mars 2009,
UN AUTRE TEMOIGNAGE
Témoignage : Il veut sauver sa fille des "mains de ses bourreaux"
http://www.radioscoop.com/
INFO RADIO SCOOP Cette enfant raconte que son beau-père, le nouveau compagnon de sa mère, abuse d'elle lors de séances qui s'apparentent à du chamanisme.
C'est l'histoire d'un père complètement démuni face à la justice : Depuis 4 ans et demi, Loïc tente de sauver sa fille qui va de plus en plus mal.
La petite fille raconte des séances pendant lesquelles son beau-père et d'autres adultes lui font subir des attouchements, lui plantent des aiguilles sur le corps en parlant dans une langue quelle ne connaît pas, les rites qu'elle décrit font penser à une secte.
La justice s'est saisie du dossier en 2008, une instruction judiciaire est cours et depuis l'enquête continue.
"On a aujourd'hui la certitude que ma fille ne va pas bien"
La fillette a été entendue par plusieurs experts et une association s'est portée partie civile, mais en attendant, elle vit toujours dans le même milieu, "aux mains de ses bourreaux" selon son père.
L'association E.V.A organise un sitting blanc, pour sauver cette petite fille et d'autres enfants, venez nombreux au palais de justice de Lyon mercredi 30 nov à 19h. Etre habillé en clair. Convoiturage à organiser pour les personnes habitants loin. Veuillez transmettre cette information autour de vous. On doit être NOMBREUX; Merci
Sabine-Hoa
Libellés : 070Il veut sauver sa fille des "mains de ses bourreaux"
vendredi 11 novembre 2011
Leur fille violée, ils brisent la loi du silence
Leur fille violée, ils brisent la loi du silence
Une étudiante a été agressée par quatre hommes à Nantes à la rentrée. Ses parents n'acceptent pas que les pouvoirs publics se taisent, au risque de laisser prospérer ces crimes.
Dans leur pavillon de banlieue, autour de la table de la cuisine, on se serre les coudes. Le père interroge sa fille, menue, les yeux rougis par des nuits sans sommeil. « Il paraît que c'est pour protéger les victimes qu'ils ne disent rien ? Tu en penses quoi, toi ? Ça te protège ? » « Non, répond-elle d'une voix aussi ferme que discrète. Pas du tout. »
Depuis ce « tsunami », la famille se bat pour que la honte et la peur changent de camp. La mère revoit les jours qui ont suivi l'agression. « Notre fille est dans son lit, sans oser sortir... » Le père : « Ces quatre hommes (qui n'ont pas encore été arrêtés) ont pu boire des bières au soleil, tranquillement. Ça me révolte. » Leur fille baisse les yeux, acquiesce.
Poser les interdits
Les parents ne laissent pas un silence pesant s'installer dans leur maison. « En parler, c'est redire où la société pose ses règles, ses interdits. C'est affirmer notre fille comme victime. En lisant le journal, les agresseurs pourraient prendre conscience de la gravité de leurs actes. Si l'un parvenait à s'en rendre compte, peut-être pourrait-on épargner ça à d'autres jeunes filles. »
Un verre d'eau, une courte respiration. Et le père illustre le propos de sa femme sur « l'importance de la parole publique dans notre société. Une grand-mère se fait renverser par un chauffard ? On lance un appel à témoins dans la presse. Les accidents ? Des bonshommes noirs rappellent les morts sur les routes. Une enfant se fait violer ? On y oppose un silence assourdissant. Mais c'est un crime ! Passible de quinze ans de prison. »
Le dire, au risque de faire peur ? « Les autorités craignent sûrement d'affoler les gens en en parlant. Mais cela n'évite pas le danger. Faisons face à la réalité. Et donnons-lui un coup d'arrêt, public. »
Pourquoi les enfants qui parlent sont toujours isolés
du parent protecteur ???
Seule façon de les manipuler, pour protéger les agresseurs
Le Scandale se passe au sein de l'Association " Le Goéland " où Monsieur Thierry NUSS exerce la fonction de chef de service.
La petite Marine 4 ans s'est plainte à son père d'avoir fait l'objet de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.
Le père de la petite Marine (Monsieur B.) a effectué un signalement aux autorités en charge de ce genre d'affaire.
Les autorités ont estimé que la petite Marine n'avait pas dit la vérité et ont décidé en conséquence de restreindre au maximum le droit de visite du père de la petite Marine.
C'est dans ces circonstances, que par décision du 20 décembre 2007, le Juge aux affaires familiales (Madame Olivia JEORGER - GAC) a décidé que la petite Marine ne pourrait plus désormais voir son père qu'une fois pas mois pendant 3 heures, au centre " Le Goéland ".
La situation est très étonnante, le père de la petite Marine (Monsieur Pascal B.) a signalé aux autorités que sa fille se plaignait de mauvais traitement dans la famille de son ex-épouse et c'est lui qui est sanctionné par une restriction quasi totale de son droit de visite.
Mais encore, c'est sans compter sur l'intervention du chef de service de l'Association " Le Goéland ", Monsieur Thierry NUSS qui manifestement se croit tout permis.
En effet, par une lettre du 8 mars 2009, Monsieur Thierry NUSS a porté à l'encontre de Monsieur Pascal B. des accusations qui constituent des dénonciations calomnieuses :
- accusation portant sur la tenue de propos injurieux envers la mère de sa fille ;
- accusation d'avoir mis en relation téléphonique sa fille et sa grand mère ;
- accusation d'avoir pris des photos de sa fille. ( photo ci dessus)
En conséquence de quoi, Monsieur Thierry NUSS qui manifestement ne doute de rien, à cru pouvoir priver depuis plus de 4 mois la petite Marine de la possibilité de voir son père.
Chacun comprendra en regardant la photo ci-dessus, prise à l'Association " Le Goéland " que Monsieur Thierry NUSS manque pour le moins de bienveillance, et surtout d'objectivité.
En quoi, le fait pour un père de prendre en photo sa fille de 6 ans devant une boite de crayons de couleur, peut-il constituer un " crime " qui autoriserait telle personne en charge d'une mission de service public (Thierry NUSS) de priver ce père de voir sa propre fille et ce conformément à ce qui est prévu par une décision de justice.
En effet, par décision de justice, le juge aux affaires familiales a prévu que Monsieur Pascal B ne pourrait rencontrer sa fille que 3 heures par mois à l'association " Le Goéland ", sans aucune motivation valable.
Monsieur Pascal B. n'a commis aucun crime, aucun délit, il a simplement signalé que sa fille se plaignait de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.
Il est depuis le 08 mars 2009 totalement privé de la possibilité de voir sa propre fille à cause de la décision manifestement illégale de Monsieur Thierry NUSS.
Il s'agit d'une situation totalement intolérable dans une société démocratique.
Répondre à cet article
Thierry NUSS Site Officiel de la Commune de Saint Père Marc en Poulet
( mailto:mmmmcontact@ville-saint-pere.fr)
Thierry NUSS délégué MODEM aurait-t-il pris, d'autorité, les fonctions de juge des enfants ou des affaires familiales ???
.Sur la seule et unique décision de Thierry NUSS, simple responsable au sein de l'association : " Le Goëland", Marine 4 ans ne peut plus voir son père depuis le 08 mars 2009.
Libellés : 0070 Leur fille violée, ils brisent la loi du silence
dimanche 6 novembre 2011
samedi 5 novembre 2011
DINAN. Ville criminogène ?
Le public n’a pas suffisamment interpellé les politiques pour qu’ils procèdent à la réforme des pratiques de la justice, laquelle classe sans suite la majorité des affaires d’abus sexuels.
Thierry NUSS
"Le Goéland" de Saint-Malo
Marine a dénoncé son oncle maternel d'abus sexuels, depuis :
elle est privée de son père et de sa famille paternelle
et acharnement sur son père,
prochainement les jugements du TGI de St Malo et de la Cour d'Appel de Rennes,
et tout ce que vit cette famille,
Dinan. Ville criminogène ? "Faux" répond le procureur !
Selon les chiffres de la Direction centrale de la police judiciaire révélés par Le Télégramme, Dinan serait la ville la plus criminogène de Bretagne, proportionnellement à sa population aussi bien pour les atteintes aux personnes que pour les atteintes aux biens. "Faux" s'insurge le procureur de Saint-Malo Dinan, Alexandre de Bosschère.
> L'intégralité du dossier en rubrique Dinan
Le Télégramme: dans une enquête récente l'un de nos journalistes d'investigation a montré que Dinan était la ville la plus criminogène de Bretagne. Qu'en pensez-vous?
Alexandre de Bosschère: «Je n'ai pas été le seul à être surpris par ces chiffres. Certes, ils sont bons, mais doivent être lus à travers un prisme particulier. Ce sont des chiffres police, et à Dinan, la zone police est pratiquement limitée à la ville elle-même. On a donc une surreprésentation de délits liés au caractère urbain, comme les problèmes à la sortie des lieux de nuit ou des dégradations de véhicules. Beaucoup de petits délits font également grimper les statistiques. Enfin, un certain nombre de personnes déposent plainte au commissariat àDinan, alors qu'ils pourraient se rendre dans la gendarmerie la plus proche de chez eux.»
Nous habitons donc une ville calme? «J'ai quelques chiffres qui montrent que les choses vont dans le bon sens. Sur les huit premiers mois de cette année, 77faits d'atteintes à l'intégrité physique ont été constatés à Dinan, contre 103sur les mêmes huit premiers mois de 2010. Cela représente une baisse de 25%. Concernant les atteintes aux biens, 343 faits ont été commis sur les huit premiers de l'année, contre 479 sur la même période l'an dernier. La baisse est de 28%. »
La délinquance est donc en train de baisser ? «La tendance 2011 est très favorable, et nous restons sur des petits chiffres, la délinquance n'est pas importante. Un dernier chiffre qui montre que la police travaille bien, celui du taux d'élucidation: 50% sur les huit premiers mois de 2011, contre 40% l'an dernier. Je crois qu'il n'y a pas lieu que se développe, dans la population, un sentiment d'insécurité.»
Libellés : 0068 DINAN. Ville criminogène ?
mardi 1 novembre 2011
Blog piraté
Le signalement a donc été enregistré par l'hébergeur, qui se charge de détecter l'origine de ces piratages (IP) si possible
"On peut utiliser son argent et ses connaissances pour éviter la punition, mais la honte ne partira jamais au lavage".
Libellés : 0067 site piraté