vendredi 11 novembre 2011

Leur fille violée, ils brisent la loi du silence



Leur fille violée, ils brisent la loi du silence

vendredi 11 novembre 2011

Une étudiante a été agressée par quatre hommes à Nantes à la rentrée. Ses parents n'acceptent pas que les pouvoirs publics se taisent, au risque de laisser prospérer ces crimes.

Un courrier ciselé est parvenu à Ouest-France. Des parents meurtris, débordants d'émotion et très dignes, y évoquent le viol de leur enfant par de jeunes hommes chargés d'alcool et de testostérone, dans le centre de Nantes. « 18 ans, encore une petite fille, la nôtre. 5 h 20, le pas vif mais l'esprit embrumé, elle traverse le parking Gloriette, noir, désert encore [...]. Elle croise quatre hommes qui l'interpellent : remarques, insultes. Les filles d'aujourd'hui n'en veulent plus des réflexions et répondent. Mais la violence déferle, toujours la même, deux qui rient, deux qui violent. C'est notre enfant. 5 h 30, tout est fini. »La plupart du temps, les magistrats, les enquêteurs, ne disent pas un mot sur « les affaires de moeurs ». Par ricochet, on en trouve rarement trace dans les journaux. Ces parents ont écrit pour combattre le silence sur les viols qui touchent, chaque année, au moins 75 000 victimes en France. Eux et leur fille veulent parler pour favoriser la prévention.
Dans leur pavillon de banlieue, autour de la table de la cuisine, on se serre les coudes. Le père interroge sa fille, menue, les yeux rougis par des nuits sans sommeil. « Il paraît que c'est pour protéger les victimes qu'ils ne disent rien ? Tu en penses quoi, toi ? Ça te protège ? » « Non, répond-elle d'une voix aussi ferme que discrète. Pas du tout. »
Depuis ce « tsunami », la famille se bat pour que la honte et la peur changent de camp. La mère revoit les jours qui ont suivi l'agression. « Notre fille est dans son lit, sans oser sortir... » Le père : « Ces quatre hommes (qui n'ont pas encore été arrêtés) ont pu boire des bières au soleil, tranquillement. Ça me révolte. » Leur fille baisse les yeux, acquiesce.
Poser les interdits
Les parents ne laissent pas un silence pesant s'installer dans leur maison. « En parler, c'est redire où la société pose ses règles, ses interdits. C'est affirmer notre fille comme victime. En lisant le journal, les agresseurs pourraient prendre conscience de la gravité de leurs actes. Si l'un parvenait à s'en rendre compte, peut-être pourrait-on épargner ça à d'autres jeunes filles. »
Un verre d'eau, une courte respiration. Et le père illustre le propos de sa femme sur « l'importance de la parole publique dans notre société. Une grand-mère se fait renverser par un chauffard ? On lance un appel à témoins dans la presse. Les accidents ? Des bonshommes noirs rappellent les morts sur les routes. Une enfant se fait violer ? On y oppose un silence assourdissant. Mais c'est un crime ! Passible de quinze ans de prison. »
Le dire, au risque de faire peur ? « Les autorités craignent sûrement d'affoler les gens en en parlant. Mais cela n'évite pas le danger. Faisons face à la réalité. Et donnons-lui un coup d'arrêt, public. »
Vanessa RIPOCHEet Thomas HENG.


 Pourquoi les enfants qui parlent sont toujours isolés                          
du parent protecteur ???


Seule façon de les manipuler, pour protéger les agresseurs



Scandale à Saint Malo


Thierry NUSS Site Officiel de la Commune de Saint Père Marc en Poulet

( mailto:mmmmcontact@ville-saint-pere.fr)




Thierry Nuss avait constaté une griffure à l'arrivée de Marine au point rencontre du "Goéland" de Saint-Malo

 Marine a dénoncé son oncle maternel d'abus sexuel (viol) en janvier 2007

Et depuis le 08 mars 2009, c'est de son père protecteur, que Marine est isolée


Thierry NUSS délégué MODEM aurait-t-il pris, d'autorité, les fonctions de juge des enfants ou des affaires familiales ???

.Sur la seule et unique décision de Thierry NUSS, simple responsable au sein de l'association : " Le Goëland",

Marine 4 ans ne peut plus voir son père depuis le 08 mars 2009.

Le Scandale se passe au sein de l'Association " Le Goéland " où Monsieur Thierry NUSS exerce la fonction de chef de service.
La petite Marine 4 ans s'est plainte à son père d'avoir fait l'objet de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.
Le père de la petite Marine (Monsieur B.) a effectué un signalement aux autorités en charge de ce genre d'affaire.
Les autorités ont estimé que la petite Marine n'avait pas dit la vérité et ont décidé en conséquence de restreindre au maximum le droit de visite du père de la petite Marine.
C'est dans ces circonstances, que par décision du 20 décembre 2007, le Juge aux affaires familiales (Madame Olivia JEORGER - GAC) a décidé que la petite Marine ne pourrait plus désormais voir son père qu'une fois pas mois pendant 3 heures, au centre " Le Goéland ".
La situation est très étonnante, le père de la petite Marine (Monsieur Pascal B.) a signalé aux autorités que sa fille se plaignait de mauvais traitement dans la famille de son ex-épouse et c'est lui qui est sanctionné par une restriction quasi totale de son droit de visite.

Mais encore, c'est sans compter sur l'intervention du chef de service de l'Association " Le Goéland ", Monsieur Thierry NUSS qui manifestement se croit tout permis.

En effet, par une lettre du 8 mars 2009, Monsieur Thierry NUSS a porté à l'encontre de Monsieur Pascal B. des accusations qui constituent des dénonciations calomnieuses :
- accusation portant sur la tenue de propos injurieux envers la mère de sa fille ;
- accusation d'avoir mis en relation téléphonique sa fille et sa grand mère ;
- accusation d'avoir pris des photos de sa fille. ( photo ci dessus)

En conséquence de quoi, Monsieur Thierry NUSS qui manifestement ne doute de rien, à cru pouvoir priver depuis plus de 4 mois la petite Marine de la possibilité de voir son père.


Chacun comprendra en regardant la photo ci-dessus, prise à l'Association " Le Goéland " que Monsieur Thierry NUSS manque pour le moins de bienveillance, et surtout d'objectivité.

En quoi, le fait pour un père de prendre en photo sa fille de 6 ans devant une boite de crayons de couleur, peut-il constituer un " crime " qui autoriserait telle personne en charge d'une mission de service public (Thierry NUSS) de priver ce père de voir sa propre fille et ce conformément à ce qui est prévu par une décision de justice.

En effet, par décision de justice, le juge aux affaires familiales a prévu que Monsieur Pascal B ne pourrait rencontrer sa fille que 3 heures par mois à l'association " Le Goéland ", sans aucune motivation valable.
Monsieur Pascal B. n'a commis aucun crime, aucun délit, il a simplement signalé que sa fille se plaignait de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.
Il est depuis le 08 mars 2009  totalement privé de la possibilité de voir sa propre fille à cause de la décision manifestement illégale de Monsieur Thierry NUSS.
Il s'agit d'une situation totalement intolérable dans une société démocratique.
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Thierry NUSS Site Officiel de la Commune de Saint Père Marc en Poulet

( mailto:mmmmcontact@ville-saint-pere.fr)














Thierry NUSS délégué MODEM aurait-t-il pris, d'autorité, les fonctions de juge des enfants ou des affaires familiales ???

.Sur la seule et unique décision de Thierry NUSS, simple responsable au sein de l'association : " Le Goëland", Marine 4 ans ne peut plus voir son père depuis le 08 mars 2009.

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