SAINT MALO LES SUBVENTIONS AU GOELAND BATTENT DE L'AILE
Les subventions du Goéland battent de l'aile - Saint-Malo
samedi 09 octobre 2010 L'association Le Goéland se bat pour maintenir à flot son point d'accueil parents-enfants, indispensable aux familles
en difficulté.
Par manque de moyens, l'association est obligée de réduire les horaires d'ouverturede son point d'accueil parents-enfants. Désormais, il est fermé le dimanche.
L'association Le Goéland est contrainte de diminuer les services du point d'accueil parents-enfants (Pape) compte tenu des baisses, voire des suppressions, des subventions qui leur étaient allouées par le conseil général, le ministère de la Justice ou encore la Caisse d'allocations familiales (Caf).
Présenter l'enfantaux parents
Créée en 1972 pour répondre aux besoins des quartiers sensibles malouins, l'association proposait au départ une aide à l'hébergement et à la réinsertion pour les personnes sortant de prison. Elle accueille également les femmes victimes de violences conjugales ou aide les jeunes mères.
En 1994, l'association crée le Pape qui s'impose vite comme juge d'application de la décision du juge des affaires familiales. Une solution douce pour les couples divorcés ou séparés. Les usagers l'ont d'ailleurs baptisé « Maison bleue ».
En effet, « ce pôle de l'association permet d'assurer la présentation de l'enfant au parent et une sérénité dans l'échange, pour aller vers un rétablissement progressif de la prise en charge ». C'est un moyen de maintenir le lien entre l'enfant et le parent qui n'a pas le droit de garde suite à une procédure de divorce houleuse.
Lorsqu'autrefois les rencontres entre les parents divorcés et les enfants se faisaient devant les commissariats ou les mairies, la Maison bleue permet d'accompagner les familles dans ces démarches parfois douloureuses.
Mais voilà, les subventions ont fortement diminué. La Maison bleue aurait besoin de trois travailleurs sociaux sur place mais ne peut plus s'en permettre que deux. « On gère la précarité avec des contrats précaires », déplore Marie-Claire Jambon, présidente de l'association.
Pire encore, le Pape est obligé de fermer les dimanches. Or, pour les parents qui ont un emploi, le dimanche est le seul jour libre pour passer un moment avec son enfant. « Le droit des enfants est lésé », n'hésite pas à dire Jean-Pierre Bachelier, le directeur de l'association. L'idée d'un groupe de parole pour les enfants a même avorté.
« On détricote le travail accompli »
Les 23 familles (32 enfants) concernées s'indignent. « Certaines considèrent qu'on leur enlève encore une fois quelque chose qui leur permettait de vivre correctement dans la relation à l'autre. » M e Denise Laurent-Callame, avocate spécialisée en droit de la famille et vice-présidente de l'association, considère que « l'on détricote tout le travail qui a été accompli ». Les responsables de l'association tirent donc la sonnette d'alarme et espèrent être entendus des pouvoirs publics, afin d'obtenir les moyens financiers dont ils manquent cruellement.
Contact : La Maison bleue est située 28, rue des Six-Frères-Ruellan, tél. 02 23 18 44 64. Elle sera ouverte, à partir du 1 er novembre, du mercredi au vendredi, de 9 h à 19 h, ainsi que les premiers et troisièmes samedis de chaque mois, de 9 h à 19 h.
Scandale à Saint Malo
( mailto:mmmmcontact@ville-saint-pere.fr)
Thierry NUSS délégué MODEM aurait-t-il pris, d'autorité, les fonctions de juge des enfants ou des affaires familiales ???
Le Scandale se passe au sein de l'Association " Le Goéland " où Monsieur Thierry NUSS exerce la fonction de chef de service.
La petite Marine 4 ans s'est plainte à son père d'avoir fait l'objet de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.( mailto:mmmmcontact@ville-saint-pere.fr)
Thierry NUSS délégué MODEM aurait-t-il pris, d'autorité, les fonctions de juge des enfants ou des affaires familiales ???
Le Scandale se passe au sein de l'Association " Le Goéland " où Monsieur Thierry NUSS exerce la fonction de chef de service.
Le père de la petite Marine (Monsieur B.) a effectué un signalement aux autorités en charge de ce genre d'affaire.
La petite Marine
âgée de 4 ans
est privée de la possibilité
de rencontrer son père
de rencontrer son père
depuis plus de 2 ans
par suite de la décision illégale de Thierry NUSS
(Chef de service)
Le Scandale se passe au sein de l'Association " Le Goéland " où Monsieur Thierry NUSS exerce la fonction de chef de service.
La petite Marine 4 ans s'est plainte à son père d'avoir fait l'objet de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.
Le père de la petite Marine (Monsieur B.) a effectué un signalement aux autorités en charge de ce genre d'affaire.
Les autorités ont estimé que la petite Marine n'avait pas dit la vérité et ont décidé en conséquence de restreindre au maximum le droit de visite du père de la petite Marine.
C'est dans ces circonstances, que par décision du 20 décembre 2007, le Juge aux affaires familiales (Madame Olivia JEORGER - GAC) a décidé que la petite Marine ne pourrait plus désormais voir son père qu'une fois pas mois pendant 3 heures, au centre " Le Goéland ".
La situation est très étonnante, le père de la petite Marine (Monsieur Pascal B.) a signalé aux autorités que sa fille se plaignait de mauvais traitement dans la famille de son ex-épouse et c'est lui qui est sanctionné par une restriction quasi totale de son droit de visite.
Mais encore, c'est sans compter l'intervention du chef de service de l'Association " Le Goéland ", Monsieur Thierry NUSS qui manifestement se croit tout permis.
En effet, par une lettre du 8 mars 2009, Monsieur Thierry NUSS a porté à l'encontre de Monsieur Pascal B. des accusations qui constituent des dénonciations calomnieuses :
- accusation portant sur la tenue de propos injurieux envers la mère de sa fille ;
- accusation d'avoir mis en relation téléphonique sa fille et sa grand mère ;
- accusation d'avoir pris des photos corporelles de sa fille.
En conséquence de quoi, Monsieur Thierry NUSS qui manifestement ne doute de rien à cru pouvoir priver depuis plus de 4 mois la petite Marine de la possibilité de voir son père.
Chacun pourra comprendre en regardant la photo ci-dessous, prise à l'Association " Le Goéland " que Monsieur Thierry NUSS manque pour le moins de bonne fois.
En quoi le fait pour un père de prendre en photo sa fille de 6 ans devant une boite de crayons de couleur peut-il constituer un " crime " qui autoriserait telle personne en charge d'une mission de service public (Thierry NUSS) de priver ce père ce voir sa propre fille et ce conformément à ce qui a été prévu par une décision de justice.
En effet, par décision de justice, le juge aux affaires familiales a prévu que Monsieur Pascal B ne pourrait rencontrer sa fille que 3 heures par mois à l'association " Le Goéland ", sans aucune motivation valable.
Monsieur Pascal B. n'a commis aucun crime, aucun délit, il a simplement signalé que sa fille se plaignait de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.
Il est depuis plus de 4 mois totalement privé de la possibilité de voir sa propre fille à cause de la décision manifestement illégal de Monsieur Thierry NUSS.
Il s'agit d'une situation totalement intolérable dans une société démocratique.Messages les plus récents portant le libellé 00044_Patrick_chevrier_magistrat_tribunal_grande_instance_dinan. Messages plus anciens
dimanche 12 juillet 2009
Le Président du TGI de DINAN (Monsieur Patrick CHEVRIER), récusé en début d'audience, refuse de se déporter, il annonce " je passe en force " !
Le Tribunal de grande instance de DINAN a enfin un président., il s'agit de Monsieur Patrick Chevrier.
En effet, le Tribunal de Grande Instance de DINAN est resté plusieurs mois sans président, durant cette période c'est Madame Claire SOURDIN qui a assuré l'intérim.
Cette situation est peut être due au fait que le Tribunal de Grande Instance de DINAN va bientôt fermer à cause de la modification de la carte judiciaire.
Le Tribunal de Grande Instance de DINAN siège dans une bâtisse très ancienne qui date de plusieurs siècles et qui ne correspond peut être plus aux exigences contemporaines.
C'est dans ces circonstances particulières que Monsieur Patrick CHEVRIER a été nommé Président du Tribunal de Grande Instance de DINAN.
Monsieur Patrick CHEVRIER a été nommé par le Conseil Supérieur de la Magistrature fin 2008, mais n'a pu rejoindre le Tribunal de Grande Instance de DINAN que début 2009.
En effet, le Tribunal de Grande Instance de DINAN est resté plusieurs mois sans président, durant cette période c'est Madame Claire SOURDIN qui a assuré l'intérim.
Cette situation est peut être due au fait que le Tribunal de Grande Instance de DINAN va bientôt fermer à cause de la modification de la carte judiciaire.
Le Tribunal de Grande Instance de DINAN siège dans une bâtisse très ancienne qui date de plusieurs siècles et qui ne correspond peut être plus aux exigences contemporaines.
C'est dans ces circonstances particulières que Monsieur Patrick CHEVRIER a été nommé Président du Tribunal de Grande Instance de DINAN.
Monsieur Patrick CHEVRIER a été nommé par le Conseil Supérieur de la Magistrature fin 2008, mais n'a pu rejoindre le Tribunal de Grande Instance de DINAN que début 2009.
Le Président Patrick CHEVRIER a eu un parcours professionnel " particulier " qui est tout à son honneur.
Avant de devenir Président du " Parlement " de DINAN, c'est à dire le plus haut Magistrat du Tribunal de Grande Instance de DINAN, Monsieur Patrick CHEVRIER a exercé la fonction de vice-président au Tribunal de Grande Instance de Pointe-à-Pitre en GUADELOUPE.
Avant de devenir Magistrat, Monsieur Patrick CHEVRIER a été instituteur en Seine-Saint-Denis.
Dans son discours d'intronisation, Monsieur Patrick Chevrier, a indiqué " J'ai senti le poids de l'histoire. Je me suis rendu compte que le pays de Rance est une réalité. "
Devant l'assemblée des Avocats, des élus et des forces de sécurité, Monsieur Patrick CHEVRIER a su détendre l'ambiance qui était avant son arrivée morose compte tenu de la fusion prochaine du Tribunal de Grande Instance de SAINT MALO et du Tribunal de Grande Instance de DINAN.
L'arrivée du Président Patrick CHEVRIER a été une bonne nouvelle après des mois de siège vide.
Monsieur le Président Patrick CHEVRIER a l'habitude des changements de casquette.
Avant d'entrer dans la magistrature, le Président Patrick CHEVRIER a été contrôleur des impôts et ensuite instituteur, pendant dix ans, en Seine-Saint-Denis.
Le Président Patrick CHEVRIER lorsqu'il était instituteur était en charge des classes " segpa ", ce sont les classes d'enfant en difficulté.
Monsieur Patrick CHEVRIER aurait souhaité devenir directeur d'un institut spécialisé, mais il était las d'attendre un tel poste, alors il a décidé de bifurquer vers la " magistrature ".
Le changement ne fait pas peur à cet homme de 50 ans, Monsieur Patrick CHEVRIER est né au Maroc, il a grandi en Algérie, auprès de parents enseignants en coopération.
Monsieur Patrick CHEVRIER est attaché à « Une certaine idéalisation de l'intérêt général, la volonté de servir les gens ». Ces valeurs lui ont été transmises par ces parents qui étaient enseignants dans la coopération.
C'est cet attachement au " service public " qui fait le lien entre toutes les vies de Monsieur Patrick Chevrier.
Entré en 1995 à l'École nationale de la magistrature, Monsieur Patrick CHEVRIER débute comme juge, placé successivement dans les différents tribunaux de la cour d'appel de Grenoble.
En 2003, Monsieur Patrick CHEVRIER devient juge d'application des peines, avant de s'envoler en 2006, pour le tribunal de Pointe-à-Pitre.
Quelles sont les affaires qui ont marqué la carrière de Monsieur Patrick CHEVRIER ?
A n'en pas douter l'affaire BIGNON / ROY risque de marquer sa carrière.
En effet, le 25 juin 2009, Monsieur le Président Patrick CHEVRIER a tenu audience en qualité de juge aux affaires familiales. L'une des parties (Monsieur Pascal BIGNON) a sollicité la révocation de l'ordonnance de clôture pour pouvoir produire des nouvelles pièces.
Le Président Patrick CHEVRIER a refusé, ce qui est ennuyeux au regard du contradictoire et des droits de la défense.
Aussitôt, et avant le début des plaidoiries, Monsieur Pascal BIGNON a déposé une requête en récusation à l'encontre de Monsieur le Président Patrick CHEVRIER, qui aurait dû se déporter , c'est à dire s'abstenir de siéger et de juger cette affaire (Article 346 du Code de procédure civile).
Tout au contraire, Monsieur le Président Patrick CHEVRIER a refusé de se déporter et à indiquer : " je passe en force ", la décision sera rendue le 10 septembre 2009.
La requête en récusation aurait dû être immédiatement transmise au Premier président de la cour d'appel de RENNES, ce n'est toujours pas le cas depuis plus de 15 jours ! ! !
Que ce passe-t-il donc au Tribunal de Grande Instance de DINAN ?
Le Tribunal de Grande Instance de DINAN est-il en état de quasi insurrection ?
Monsieur Pascal BIGNON va saisir le Ministre de la Justice de cette situation impensable, un magistrat récusé doit immédiatement se déporter (Article 346 du Code de procédure civile) et ne peut en aucune manière dire :
" je passe en force "
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