jeudi 11 novembre 2010

C'est un drame national silencieux qui se passe sous nos yeux avec des enfants victimes de l'omerta et qui ne peuvent pas se plaindre



Scandale à Saint Malo
Marine dénonce son oncle, elle est isolée de son père depuis 20 mois...

Sectes : 50 000 enfants victimes en France

Constatant que « la société est restée aveugle durant des années », « mais aussi qu'il faut apprendre à voir ce qui ne se voit pas à l'œil nu, reconnaître l'enfant enfermé et retenu prisonnier dans un monde mental qui n'est pas le sien pour lui tendre la perche »,

Mais pour nombre d'avocats spécialisés dans les dérives sectaires, les enquêteurs sociaux et experts devraient aussi être mieux informés. «Méconnaissant ce domaine, ils ne posent pas les bonnes questions et passent à côté des problèmes», souligne Me Line N'kaoua. «Dans neuf cas sur dix, ils rendent une décision favorable au parent adepte de la secte.»




Scandale à Saint Malo
( mailto:mmmmcontact@ville-saint-pere.fr)



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La petite Marine

âgée de 6 ans
est privée de la possibilité

de rencontrer son père
depuis plus de 20 mois
par suite de la décision illégale de Thierry NUSS
(Chef de service)



Thierry NUSS délégué MODEM aurait-t-il pris, d'autorité, les fonctions de juge des enfants ou des affaires familiales ???
Le Scandale se passe au sein de l'Association " Le Goéland " où Monsieur Thierry NUSS exerce la fonction de chef de service.
La petite Marine 6 ans s'est plainte à son père d'avoir fait l'objet de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.
Le père de la petite Marine (Monsieur B.) a effectué un signalement aux autorités en charge de ce genre d'affaire.




ARTICLE 211-1



Constitue un génocide le fait, en exécution d'un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d'un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l'encontre de membres de ce groupe, l'un des actes suivants :

- atteinte volontaire à la vie ;

- atteinte grave à l'intégrité physique ou psychique ;

- soumission à des conditions d'existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;

- mesures visant à entraver les naissances ;

- transfert forcé d'enfants.

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables au crime prévu par le présent article.




Sectes : 50 000 enfants victimes en France

Résumé : Ce sont des proies faciles : plus de 50000 enfants seraient victimes des sectes en France. La Miviludes vient d'éditer un guide pour sensibiliser les professionnels de l'enfance et aider les proches souvent impuissants face à l'emprise de ces mouvements.

Parmi les signes auxquels les professionnels de l’enfance et les proches doivent être attentifs, figurent  notamment la déscolarisation, l’isolement, les régimes alimentaires carencés. Photo Julio PELAEZ
La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) a publié, hier, un guide pour «La protection des mineurs contre les dérives sectaires». 50 000 à 60 000 enfants en sont les victimes en France, selon son président, Georges Fenech.

Au téléphone, Georges Fenech n'y va pas par quatre chemins. L'emprise sectaire sur les mineurs ? « C'est un drame national silencieux qui se passe sous nos yeux avec des enfants victimes de l'omerta et qui ne peuvent pas se plaindre. Comment voulez-vous parler aux autres, confier la maltraitance subie, à 7 ou 8 ans, lorsqu'en famille on vous rabâche quotidiennement que dehors, c'est « Satan » et que le « salut » n'est qu'à l'intérieur de la secte ? », interroge le président de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes).

Constatant que « la société est restée aveugle durant des années », « mais aussi qu'il faut apprendre à voir ce qui ne se voit pas à l'œil nu, reconnaître l'enfant enfermé et retenu prisonnier dans un monde mental qui n'est pas le sien pour lui tendre la perche »,

la Miviludes a publié hier un guide pour « La protection des mineurs contres les dérives sectaires ». Car l'urgence est là : « entre 50 000 et 60 000 enfants sont victimes de dérives sectaires en France » se traduisant par des « maltraitances physiques ou morales », et « 5 000 de ces enfants vivent en milieu fermé, familial ou communautaire » insiste Georges Fenech.

Publié le 15/10/2010

Lien maternel privilégié
Mais pour nombre d'avocats spécialisés dans les dérives sectaires, les enquêteurs sociaux et experts devraient aussi être mieux informés. «Méconnaissant ce domaine, ils ne posent pas les bonnes questions et passent à côté des problèmes», souligne Me Line N'kaoua. «Dans neuf cas sur dix, ils rendent une décision favorable au parent adepte de la secte.» De son côté, Me Roselyne Duvouldy constate que, dans la plupart des cas, ce sont des femmes qui rejoignent des sectes. «En grande majorité les juges vont alors privilégier le lien maternel», déplore-t-elle. Des décisions qui, en grande majorité, selon elles, ne tiennent pas compte de l'intérêt de l'enfant.





PARLE HUGO PARLE
De Mathieu Johann



























SYNDROME D’ALIENATION PARENTALE (SAP)

par François Podevyn (4/4/2001) (francoispodevyn@yahoo.fr)
AVANT-PROPOS

1. Qu’est-ce que le syndrome d’aliénation parentale?

L’enfant est amené à haïr et à rejeter un parent qu’il aime et dont il a besoin। (FAMILYCOURTS, §3)

Le lien entre l’enfant et le parent aliéné sera irrémédiablement détruit (GARDNER3, §66)
En effet, on ne peut reconstruire le lien entre l'enfant et le parent aliéné s'il y a eu un hiatus de quelques années (GARDNER_ADDENDUM2, §2)

Le parent aliéné devient un étranger pour l'enfant. Le modèle principal des enfants aura été le parent pathologique, mal adapté et présentant un dysfonctionnement.
Beaucoup de ces enfants développent de sérieux troubles psychiatriques (MAJOR, §57)

Induire un syndrome d’aliénation parentale à un enfant est une forme d’abus.
un abus émotionnel va à coup sûr avoir des répercussions psychologiques et peut engendrer des problèmes psychiatriques pour le restant de la vie (GARDNER_ADDENDUM2, §2)

Les effets chez l’enfant victime du syndrome d’aliénation parentale peuvent être
une dépression chronique, une incapacité à fonctionner dans un cadre psychosocial normal,
des troubles d’identité et d’image, du désespoir, un sentiment incontrôlable de culpabilité,
un sentiment d’isolement, des comportements hostiles, un manque d’organisation,
un dédoublement de personnalité et parfois, le suicide।
Des études ont montré qu’une fois adulte, les victimes d’une telle aliénation ont un penchant pour l’alcool, la drogue et présentent d’autres symptômes de mal être profond (FAMILYCOURTS, §19)

Le sentiment incontrôlable de culpabilité est provoqué par le fait qu’il réalise, une fois adulte, qu’il a été le complice malgré lui d’une grande injustice infligée au parent aliéné (LOWENSTEIN1, §13)

Erreurs à éviter

Tenir compte uniquement de l’avis des enfants
Les enfants rencontrés paraissent bien fonctionner à l’école, leur vie sociale semble normale et, de prime abord, ils ne présentent pas de psychopathologie particulière.
Mais, tous, à des degrés divers, réclament la cessation des contacts avec l’autre parent.
L’on plaide alors que, dans l’intérêt de l’enfant,
il faille suspendre les visites parce que « traumatisantes... on ne veut pas forcer l’enfant... »
Et il en irait tout à coup de l’intérêt de l’enfant, de ses droits et de son besoin de n’avoir qu’un seul parent! (LAMONTAGNE, page 179, §2)

C’est ignorer l’ampleur du problème.
Il faut d’une part cesser de croire à la bonne volonté de l’aliénant
et d’autre part faire cesser son action néfaste en utilisant le seul pouvoir qu’a la société,

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