" En parler c'est pas un crime! Un enfant n’est ni une poupée, ni un pantin… ce n’est pas un objet,
Thierry NUSS
Chef du point rencontre à l'Association "Le Goéland"
empêche illégalement Marine de rencontrer son père depuis MARS 2009 Priver illégalement Marine de rencontrer son père, Thierry Nuss est complice de maltraitance
Voir : Les services sociaux de Saint-Brieuc
Voir : Les services sociaux de Saint-Brieuc
Ensemble contre l'inceste et la pédocriminalité,
Car il se distille comme un poison dès la plus tendre enfance par ceux qui doivent protéger l’enfant : la famille,
" En parler c'est pas un crime!" Manifeste pour les droits des victimes d'inceste & de pédocriminalité
Le 07/05/2011 à 00:19Le Monde à Travers un RegardCommentaires (0)Ajouter un commentaireA l'attention de Mr le Président de la République, Messieurs et Mesdames les ministres, citoyens français,
- Des moyens financiers supplémentaires des pouvoirs publics pour la prise en charge des victimes, une justice plus digne ainsi que pour soutenir les associations qui luttent au quotidien contre les violences sexuelles envers les enfants et l'accompagnement des adultes.
- De revenir d'urgence à la légalité à laquelle l'Etat ne saurait se soustraire, et de faire rendre enfin le Rapport (attendu depuis le 30 juin 2010), et surtout sur la réalisation des buts inscrits dans la LOI n° 2010-121 du 8 février 2010, à savoir améliorer l'accompagnement médical et social des victimes d'inceste.
- Une formation des professionnels (social, judiciaire, médical, éducatif...) concernant les viols sur mineurs, leurs conséquences et l'obligation de signalement et ce dès l'école de médecine par exemple.
- Des campagnes d’information et de prévention concernant l'inceste et la pédocriminalité en particulier à l’école, y compris des campagnes audiovisuelles à heure de grande audience.
- Soutenir et développer l’implantation de structures spécialisées en victimologie et psychotraumatisme.
- Mettre en place des études et des recherches concernant les viols sur les mineurs ainsi que leurs conséquences.
- Avant recrutement, enquête de moralité et examen du casier judiciaire des intervenants auprès des enfants : travailleurs sociaux, assistantes maternelles et leur conjoint, enseignants, animateurs de centres de loisirs ou colonies, chauffeurs de bus scolaires…
- Considérer l’enfant qui ose parler comme un enfant « présumé victime » même s’il a commis des actes de délinquance qui sont souvent des appels au secours ou les conséquences de sévices subis (vol, toxicomanie, fugues, violences physiques…).
- Prise en charge pluridisciplinaire de l’enfant victime avec un accompagnement psychologique systématique gratuit par des victimologues.
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