mercredi 28 avril 2010

STMALO/DINAN---PEDO-CRIMINALITE, INJUSTICE, REVEILLEZ-VOUS,

Mardi, avril 27, 2010
By Patricia Poupard

Euro-Parlementaires médusés
La Fondation Jacqueline de Croÿ et Massimo Lancellotti reçu au Parlement Européen pour sa pétition acceptée sur la criminalité organisée dans l’Union Européenne.
Pour la première fois, un organisme privé a pu s’exprimé sur le sujet qui « fâche ».
Ecouté avec attention par les parlementaires européens : Enfants remis systématiquement aux agresseurs, non accès au dossier, pièces qui disparaissent, prison, internement, tortures, preuves scientifique non retenues, des victimes et
tèmoins menacés par une justice qui inverse les rôles…
La liste est longue.
Des parlementaires surpris d’entendre la France et la Belgique citées parmi d’autres pays de l’Union.
Le nom de Marcel Vervloesem, citoyen belge, cité par les traducteurs. Il est emprisonné pour avoir dénoncé le réseau pédocriminel Zandvoort.
José César Alonsio Iriarté(Administrateur, DG justice, European Commission) clôturera le débat en proposant de classer le dossier pédocrimel. Mais la présidente de la Commission laissera une ouverture en laissant la pétition ouverte.

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mercredi 21 avril 2010

Homosexualité et pédophilie : le vrai rapport- -Clowes cite une enquête auprès de responsables d’écoles qui font état de 13 fois plus de plaintes visant des homosexuels abusant des jeunes que des hétérosexuels. D’autres études évoquant 90 à 100 fois plus d’agressions d’enseignants homosexuels sur des jeunes que d’enseignants hétérosexuels.

Homosexualité et pédophilie : le vrai rapport

21 avril 2010Réagir
Human Life International, cité par LifeSite, publie un article de fond extrêmement équilibré et documenté – et fort important dans le contexte actuel – sur les rapports qui existent, et ceux qui n’existent pas, entre homosexualité et pédophilie. Chargé de la recherche pour la grande organisation pro-vie catholique, Brian Clowes semble bien avoir mis un terme au débat concernant le rôle joué par l’homosexualité d’une part du clergé dans les scandales qui ont fait surface aux cours des dernières décennies et qui sont aujourd’hui exploités en vrac pour dénigrer l’Eglise catholique en tant qu’institution. Son étude qui invoque, commente et critique de multiples recherches, dont une grande part émane d’organismes sans hostilité aucune à l’égard des homosexuels, permet d’établir que le célibat ne peut pas être considéré comme cause de la pédophilie, mais qu’en revanche il existe un lien fort entre homosexualité et abus de mineurs.
La totalité de cette étude, en langue anglaise, est consultable ici sur le site de Lifesite. Elle est totalement à jour, ayant été publiée le 19 avril et comportant par exemple des références aux récentes déclarations du cardinal Bertone au Chili. Elle perçoit parfaitement le problème actuel qui interdit quasiment de faire un lien entre homosexualité et abus de mineurs sous peine d’être taxé d’« homophobie ». Pourtant il n’est pas question d’amalgames, d’exagérations ou de déterminisme. Que cela soit bien clair.
Il faut d’abord clarifier le langage, comme le fait Brian Clowes à la 4e page de son rapport pour montrer la non-pertinence d’une étude de 1994 excluant l’homosexualité comme facteur de pédophilie : cette étude concernait des enfant d’un âge moyen de 6,1 ans. Or, précise-t-il, le pédophile vrai qui est attiré par ces enfants très jeunes n’est pas attiré par les adultes de l’un ou de l’autre sexe. Les « pédophiles » évoqués dans le contexte des scandales actuels s’attaquent à des jeunes à peine pubères, des adolescents, la plupart du temps des adolescents mâles, et la plupart des agresseurs de ces jeunes sont des homosexuels qui sont de la sorte « éphébophiles ».
Or c’est bien ce qui est en cause ici : sur les cas répertoriés depuis une cinquantaine d’années aux Etats-Unis, seuls 10 % concernaient des enfants pré-pubères âgés de 10 ans et moins.
Il faudrait pouvoir traduire tout ce texte de 20 pages mais c’est un gros morceau. Je vous en propose quelques éléments significatifs pris au fil des pages.
• Le rapport Alfred Kinsey (lui-même homosexuel peu suspect de pruderie ou d’homophobie), assure en 1948 que 37 % des homosexuels mâles avérés avouent avoir eu des rapports avec des garçons de moins de 17 ans.
• Les Archives of Sexual Behavior ont établi récemmet que seuls 2 à 4 % des hommes adultes préfèrent les hommes. Mais 25 à 40 % des hommes attirés par des enfants préfèrent les garçons.
• Les mêmes Archives évaluent la prévalence des homosexuels parmi les pédophiles à 30 ou à 40 %, à comparer aux 2 % d’homosexuels dans la population générale.
• Une étude du Journal of Sexual Research note que « la proportion de coupables d’abus sexuel contre des enfants mâles parmi les hommes homosexuels est substantiellement plus importante que la proportion des coupables d’abus sexuel sur des petites filles parmi les hommes hétérosexuels… Le développement de la pédophilie est plus étroitement lié à l’homosexualité qu’à l’hétérosexualité. »
Autrement dit, en chiffres absolus, il y a plus de victimes filles mais la proportion des agresseurs est plus importante chez les hommes homosexuels dont le nombre dans la population est beaucoup plus petit.
• Une étude de 229 coupables d’abus sur des mineurs publiée dans les Archives of Sexual Behavior révèle que 86 % d’entre eux se définissent eux-mêmes comme homosexuels ou bi-sexuels.
Brian Clowes cite l’étude indépendante « John Jay » commandée par l’Eglise aux Etats-Unis sur les allégations d’abus sexuels visant des prêtres catholiques sur plusieurs décennies. On y découvre qu’à mesure que les enfants grandissent, les agressions visent moins les filles et davantage les garçons, passant de 58,3 % de filles dans la catégorie des 1 à 7 ans à 85,3 % de garçons dans la catégorie des 11-17 ans, l’âge qui plaît aux « éphébophiles ».
Cela contraste d’ailleurs violemment avec ce qui se passe dans la population des Etats-Unis en général : les agressions d’un homme sur un garçon ne représentent que 14,4 % des agressions sexuelles totales : 1 agression sur sept, autrement dit, tandis que parmi les prêtres agresseurs cette proportion passe à 6 sur 7 !
Brian Clowes calcule que s’il y a plus d’homosexuels parmi les prêtres que dans le reste de la population, par exemple 10 %, les chiffres montrent qu’un prêtre homosexuel présente 52 fois de risques supplémentaires qu’un prêtre hétérosexuel d’agresser un enfant ou un jeune. S’ils sont 5 %, le risque montre à 110 fois plus.
Le travail dans un secteur permettant d’approcher des garçons est évidemment recherché par ceux qui sont attirés par eux. Clowes cite une enquête auprès de responsables d’écoles qui font état de 13 fois plus de plaintes visant des homosexuels abusant des jeunes que des hétérosexuels. D’autres études évoquant 90 à 100 fois plus d’agressions d’enseignants homosexuels sur des jeunes que d’enseignants hétérosexuels.
On trouvera dans l’article de Brian Clowes d’abondantes références renvoyant à une littérature homosexuelle ouvertement éphébophile et très explicite dans son affirmation que tous y trouvent leur compte – les adultes et les jeunes garçons. Un point de vue partagé par l’équipe d’Alfred Kinsey qui est également à l’origine de la fausse opinion commune selon laquelle 10 % des hommes seraient homosexuels.
Voyez cette citation de Mgr Richard Sniezyk sur son expérience de séminariste et de jeune prêtre pendent les années 1960 à 1980 (années où se concentrent la plupart des abus) : personne ne se préoccupait alors en apprenant qu’un prêtre avait des relations avec de jeunes hommes, « tout le monde pensait que c’était OK ».
Brian Clowes s’intéresse également à l’affirmation selon laquelle un acte sexuel impliquant un homme et un jeune garçon n’est pas un acte homosexuel, comme le veut la criminologue Margaret Smith. C’est absurde sur le plan du langage et aussi contrevenu par les faits puisque des études ont montré que les hommes attirés par des jeunes garçons le sont généralement aussi par des hommes de tous âges, ou au moins par des hommes n’ayant pas plus de 24 ans mais donc adultes.
Y a-t-il un lien entre célibat et pédophilie ? Non, répond encore Biran Clowes en rappelant que les prêtres, respectés et admirés de manière générale, ont plus facilement accès aux femmes que les hommes dans la population en général. Selon une étude du Pr Philip Jenkins de Penn State, entre 0,2 % et 1,7 % des prêtres catholiques sont des pédophiles, contre 2 à 3 % des membres du clergé protestant qui sont libres de se marier.
Conclusion : « Un homme qui a adopté un style de vie homosexuel, ou qui éprouve des tendances homosexuelles, ne devrait jamais être ordonné prêtre. Le danger pour les vies et pour les âmes est simplement trop grand, ainsi que l’a amplement démontré la crise des abus sexuels au sein de l’Eglise. »
J’y ajouterais plusieurs réflexions personnelles pour clarifier le débat.
1. On ne peut pas dire que l’homosexualité et la pédophilie se confondent, notamment dans le cas de la pédophilie vraie, particulièrement révoltante, visant des enfants de 10 ans ou moins, surtout des filles d’ailleurs : c »est un désordre précis qui est très loin d’être l’apanage des homosexuels et je comprends qu’ils puissent se sentir insultés si c’est cela qui est affirmé.
2. On ne peut pas dire que tous les homosexuels sont des éphébophiles, même si la proportion d’homosexuels qui se disent attirés ou qui avouent un passage à l’acte sur un garçon de 11 à 17 ans est important ; de 25 à plus de 40 % selon les études et dans un domaine où la sincérité peut être difficile.
3. En revanche les éphébophiles (l’essentiel des cas répertoriés dans l’affaire de « pédophilie dans l’Eglise » telle que la désignent les médias) sont dans leur écrasante majorité des homosexuels exerçant leur abus sur des garçons.
Toutes les références aux études citées sont données par Brian Clowes sont explicitement données et la plupart des pages invoquées reproduites en fin de document.
Revoici le lien : ici.
© leblogdejeannesmits.

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jeudi 15 avril 2010

Le Général Germanos ancien chef du cabinet militaire des ministres Charles Millon et Alain Richard, est jugé demain par le tribunal correctionnel de Paris. Soupçonné d'avoir eu en sa possession plusieurs milliers de photos mettant en scène des enfants âgés de six mois à 12 ans.

 PEDOPHILIE

 le  GENERAL GERMANOS

Soupçonné d'avoir eu en sa possession plusieurs milliers de photos pédo-pornographiques, le général d'armée (5 étoiles) Raymond Germanos, ancien chef du cabinet militaire des ministres Charles Millon et Alain Richard, est jugé demain par le tribunal correctionnel de Paris. Ancien chef du Service d'information et de relations publiques des armées (Sirpa), le général Germanos, 68 ans, a été renvoyé en correctionnelle le 9 octobre par la juge d'instruction Géraldine Rigollot pour « détention d'images pédo-pornographiques », un délit passible d'une peine de deux ans de prison et 30 000 euros d'amende. Les policiers français avaient été alertés en 2006 via Interpol par leurs homologues autrichiens qui étaient parvenus à identifier l'adresse internet de M. Germanos sur laquelle avaient été importées des vidéos à caractère pédophile depuis un site autrichien.
En perquisitionnant le domicile et en saisissant l'ordinateur du général, les policiers avaient mis la main sur environ 3 000 photos mettant en scène des enfants âgés de six mois à 12 ans.
Selon une source judiciaire, le militaire a reconnu les faits au cours de ses auditions par la juge, et s'est dit prêt à s'engager dans une démarche thérapeutique.
Publié le 12/04/2010

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Pédophilie : Un ELU UMP qui est aussi président du comité local de la Croix Rouge, membre éminent du consistoire, est placé en garde à vue dans les locaux de la PJ de Versailles. Lors de son audition, il passe aux aveux

 


 Les "Infiltrés" spécial pédophilie : un élu UMP des Yvelines devant le tribunal d’après l’AP


jeudi 8 avril 2010, par Staff Culturefemme
La polémique sur l’émission les « Infiltrés » va connaître sans doute un nouveau regain, avec cette nouvelle : Maurice Gutman, conseiller municipal UMP du Mesnil-Saint-Denis (Yvelines), sera vendredi 9 avril le tribunal correctionnel de Versailles pour "corruption de mineur de 15 ans", selon une information révélée entre autre par Leparisien.fr et par l’AP.
Maurice Gutman, 64 ans, est une des personnes « piégé » par l’émission les « Infiltrés ». Le concept du magazine les "Infiltrés", c’est faire un reportage-enquête sur un sujet donné, en s’immergeant au cœur du problème. Pour l’émission diffusée mardi 6 avril à 22h25 sur France 2, les "Infiltrés" a traité d’un sujet sensible, la pédophilie.
Avant même la diffusion de ce numéro des "Infiltrés" qui portait sur la pédophilie sur Internet, plusieurs procédures judiciaires avaient été engagées, plusieurs des personnes rencontrées lors de l’enquête qui a duré un an, ayant été signalées à la police, soit une vingtaine d’individus. C’est ce point qui fait surtout débat : le journalisme doit-il se contenter d’enquêter et informer, ou doit-il devenir un recours pour (aider) la police. Selon Leparisien [1] : "Il a suffi à Laurent Richard, rédacteur en chef des ‘Infiltrés’, de se faire passer pour ‘Jessica, 12 ans’ sur des messageries réservées aux ados pour être aussitôt contacté par des hommes prompts à multiplier exhibitions et propositions de rendez-vous à caractère sexuel. En caméra cachée, le reporter a pu en rencontrer une dizaine qui pensaient avoir amadoué une fillette. Parmi eux, un provincial sexagénaire, un Parisien de 26 ans ou ce chef d’entreprise de 35 ans qui confie être l’auteur d’attouchements sur sa fille de 5 ans". Toujours selon l’article du site Leparisien.fr, l’enquête menée par Laurent Richard "pointe les défaillances des modérateurs des sites Web et le manque de moyens de la police pour surveiller la Toile. Dans le monde, 750 000 prédateurs sexuels seraient connectés en permanence. En se faisant passer pour l’un d’eux, le journaliste a également infiltré des réseaux d’échanges de fichiers à caractère pédopornographique et recueilli (en caméra cachée) les confidences d’un pédophile québécois déjà condamné à dix ans de prison et récidiviste : ‘J’ai mis du temps à les mettre en confiance. Ces gens sont tournés vers leur obsession. J’ai été confronté à des images très dures, très violentes, et à des propos perturbants. Cette enquête laisse des traces’". En ce qui concerne la comparution vendredi de Maurice Gutman, selon l’AP, l’homme, « en charge du site Internet de la mairie, s’était connecté sur un ‘chat’ où il avait conversé avec un journaliste de l’agence Capa se faisant passer pour une fillette de 12 ans. Le conseiller municipal lui avait finalement proposé d’avoir des relations sexuelles. ».
Maurice Gutman, de même que d’autres personnes rencontrées lors de l’enquête, ont été dénoncé par le journaliste qui a communiqué à la Direction centrale de police judiciaire. Selon l’AP, « Lors de sa garde à vue, le conseiller municipal, membre de la Croix-Rouge locale, serait passé aux aveux. Placé sous contrôle judiciaire, il a été laissé libre avant son audience du 9 avril. Il risque sept ans de prison et 100.000 euros d’amende. »
Selon Leparisien.fr, Maurice Gutman « s’est connecté sur un site Internet de chat où il a conversé avec un journaliste se faisant passer pour Jessica, une fillette de 12 ans. Après de longues minutes d’échanges, le conseiller municipal lui a proposé d’avoir des relations sexuelles. ‘Le journaliste faisait croire que la petite fille avait peur d’avoir des relations. Mais le suspect se voulait rassurant et lui faisait comprendre qu’il lui apprendrait à faire l’amour sans lui faire de mal’. Dès que la conversation sur Internet a été terminée, les journalistes de France 2 ont dénoncé l’élu à la DCPJ à Nanterre (Hauts-de-Seine) en précisant que, durant l’émission, les ministres de l’intérieur et de la Justice seraient interrogés sur ce cas. Maurice Gutman, qui est aussi président du comité local de la Croix Rouge, membre éminent du consistoire, est placé en garde à vue dans les locaux de la PJ de Versailles. Lors de son audition, il passe aux aveux. Il raconte que cette conversation sur Internet a eu lieu alors qu’il se reposait en province. Il affirme que cette relation était tout à fait virtuelle et de l’ordre du fantasme. ©Culturefemme.com
Source : AP / Leparisien.fr

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