dimanche 28 mars 2010

«Les infiltrés» sont de retour sur France 2 le 6 avril à 22h20, Le documentaire sera suivi d'un débat.


«Les infiltrés» traquent les pédophiles

 

Le magazine d'investigation en caméra cachée qui avait fait polémique sur France 2 l'an dernier, revient avec une enquête sur les «prédateurs sexuels».

storybild David Pujadas et «Les infiltrés» sont de retour. (Photo: DR)
Plus de 750 000 pédophiles seraient en permanence connectés au web pour manipuler un mineur à des fins sexuelles, selon un rapport de l'Onu. En France, plus d'un enfant sur trois a déjà été approché par un inconnu via des «chats» sur internet, affirment les associations.
Ce phénomène, appelé «grooming», beaucoup en ont entendu parler, mais qui sont ces «prédateurs»? Comment opèrent-ils? Les sites pour ados sont-ils vraiment sécurisés? Que fait la police? Pour y répondre, des reporters de l'agence Capa ont infiltré pendant près d'un an le réseau pédophile.
Ils se sont connectés sur la toile en se mettant dans la peau d'une adolescente. «C'était la partie la plus facile de l'enquête: il a suffit de s'inscrire, les prédateurs venaient à nous!», raconte Laurent Richard, le rédacteur en chef.
Muni d'une caméra cachée, il s'est présenté aux rendez-vous donnés par ces pédophiles, pour les faire parler (avec voix truquées et visages floutés). «Je leur ait dit que j'étais journaliste. Jamais ils n'ont fui. Ces gens-là ont parlé pour la première fois», témoigne-t-il.
«Les infiltrés» sont allés voir du côté des «chat» pour adolescents, soit-disant sécurisés, pour montrer qu'il n'en est rien... même chez le leader, ado.fr, propriété de Lagardère. «Une heure après notre interview, ils ont renforcé leur sécurité», selon Laurent Richard.
Ils ont aussi réussi à infiltrer le réseau en se faisant passer pour pédophiles. Ainsi ils ont pu rencontrer des violeurs d'enfants en «activité» depuis des années et jamais arrêtés, des collectionneurs de fichiers pédopornographiques...
«J'ai mis beaucoup de temps pour les mettre en confiance. Ces gens sont tournés vers leur obsession, ils ne m'ont jamais regardé dans les yeux», raconte Laurent Richard, éprouvé par cette expérience.
«Parfois j'avais envie de vomir en voyant leurs photos mais je devais me retenir pour continuer mon interview», dit-il.
Pour les combattre, les forces de police semblent dérisoires et en retard. Cela fait seulement 9 mois que les policiers peuvent utiliser un pseudonyme sur internet...
Une fois l'enquête terminée, les reporters ont dénoncé à la police tous les pédophiles rencontrés - l'un a été arrêté depuis - car la loi rend complice tout témoin d'agissements sur mineurs.
«Les infiltrés» sont-ils des auxiliaires de police? «Non, des citoyens», répond Hervé Chabalier, le patron de Capa, pour qui la vocation des «infiltrés» est de dénoncer des «systèmes, pas des gens».
«On ne mélange pas les genres mais dans ce cas précis, la loi va au-delà du secret des sources. On le savait en démarrant l'enquête», ajoute-t-il.
«On ne va pas s'empêcher de dénoncer un violeur de mineurs parce qu'on a notre carte de presse!», renchérit David Pujadas, le présentateur.
«L'enquête a permis de voir que le filet des policiers avait des mailles énormes. Mais le but n'est pas d'emmerder la police, qui espère d'ailleurs, en "off", que ce reportage lui permettra d'avoir plus de moyens», commente Hervé Chabalier.
«Les infiltrés» (cinq autres magazines seront proposés dans les prochaines semaines) n'ont utilisé la caméra cachée qu'à «bon escient, pour aller voir derrière les portes qui se ferment lorsqu'on a jugé que c'était contraire à l'intérêt public», résume Hervé Chabalier.
Le documentaire sera suivi d'un débat.
«Les infiltrés», France 2 le 6 avril à 22h20.




la citation directe ou
COMMENT RIDICULISER UNE BANDE DE MALFRATS




Devant le tribunal correctionnel de SAINT-MALO, 
un père de famille divorcé accuse, en citation directe,

Patrick Chevrier, président de TGI de DINAN, 
Jean-Michel Sourdin bâtonnier de l'Ordre des avocats,
Isabelle ROY la mère de l'enfant, 
Thierry NUSS responsable de l'association "Le Goëland, 
GICQUEL éducateur de l'Apase (association pour l'action sociale et éducative en Ille-et-Vilaine), 
pour "escroquerie au jugement"

Il estime que son droit de visite parental lui a été retiré de façon particulièrement illégale.
Dans cette affaire d'attribution du droit de visite du père, plusieurs experts ont refusé de visionner
une vidéo des gendarmes, démontrant les faits d'agression sexuelle de Guillaume ROY, le "tonton",
sur la fillette de trois ans.
De toute évidence, un complot judiciaire se serait mis en place, afin d'éviter le déshonneur du grand
père Claude ROY et la mise au grand jour d'une affaire de pédophilie.
Il semblerait que le procureur de Saint-Malo, Alexis BOUROZ (qui part pour Lorient) se soit rangé
du côté des pédophiles : " Le coeur balance entre le cocasse et le pathétique, a-t-il estimé en
demandant 15 000€ de consignation, en prévision des amendes civiles qui ne manqueront
d'être demandées pour procédures abusives".
Le procureur Alexis BOUROZ anticipe donc.
Les avocats des accusés dénoncent un acharnement sans objet au travers d'une dizaine de procédures
diverses intentées depuis des années devant les tribunaux de Saint-Brieux, Dinan, et Saint-Malo et
ont l'intention de réclamer des dommages et intérêts importants.
Le conseil du plaignant demande que la consignation soit à la mesure des modestes revenus (500€ par mois)
de son client, pour ne pas l'empêcher d'accéder à un procès équitable dans l'esprit de la jurisprudence
européenne.
Il souhaite le dépaysement de l'affaire hors de la zone de la Cour d'Appel de Rennes.
Il semblerait que les juges de Saint-Malo ont bien compris la démarche de ce père de famille.
Décision du tribunal correctionnel de Saint-Malo :
la consignation est fixée raisonnablement à 1 000€ dans un délai d'un mois, sous réserve de la
réponse positive à la démarche tardive de demande d'aide juridictionnelle. L'affaire est renvoyée
au 8 juillet, le temps de permettre au Parquet Général de se prononcer sur un éventuel dépaysement
du procès.
La demande de dépaysement n'est, finalement, peut-être pas justifiée.

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samedi 27 mars 2010

PEDOPHILIE LYON, la Cité de l'enfance se reconstruit

Par Fabien Fournier
Posté le 03/02/2010  à 18:24 |  lu 901 fois |

"Ce sont des enfants qui se taisent"


Treize jeunes garçons de 6 à 12 ans ont été abusés sexuellement par un éducateur à Bron ces derniers mois. Le suspect s'est suicidé mais la procédure judiciaire suit son cours.Les familles et le personnel sont auditionnés actuellement par la justice.
L'agresseur disparu, il n'y a plus que des victimes. Des familles, des éducateurs aussi, plongés dans la colère, la stupeur et l'incompréhension. Diplômé de psychologie, Philippe S. effectuait des vacations à la Cité de l'enfance (aussi dénommé l'Institut départemental de l'enfance et de la famille, 170 pensionnaires à Bron). C'est dans le cadre de son travail qu'il abusait sexuellement de 13 jeunes garçons, âgés de 6 à 12 ans. Il leur a imposé des attouchements et leur a fait des fellations. Ils en menaçaient certains pour qu'ils se taisent.
"Laissez-moi vivre"
Rien ne lassait à penser que sous son allure tranquille et bienveillante, ce jeune homme de 26 ans souffrait de pulsions inextinguibles. "Il était toujours volontaire", se rappelle une employée. "Il était proche des enfants, jouait avec eux. On avait confiance", précise le directeur, Eric Nojac.
Impliqué dans l'éducation, cet éducateur avait pris la plume pour dénoncer sur Internet le regard porté par la société sur la dyslexie dont il avait souffert. "Cette société va-t-elle me reprocher toute ma vie, d’être différent, et de ne pas avoir réussi à corriger cette différence ?", écrivait-il, sans que l'on sache s'il ne pensait pas déjà à ses perversions sexuelles. "Laissez-moi vivre", intimait-il sur son blog, presque prémonitoire. "C'était un stratège qui a su endormir la vigilance des adultes. Il trompait son monde", maugrée aujourd'hui le directeur.
Des vidéos tournées sur place
C'est l'enfant "le plus construit", âgé de 9 ans, qui a parlé, placé ici par ses parents pendant l'hospitalisation de sa mère. Ses parents voyaient bien que quelque chose n'allait pas. Lors d'un week-end du 19 décembre, il s'ouvre à son père qui dépose plainte aussi vite. Le jeune vacataire, interpellé par les enquêteurs, avoue immédiatement. Et donne la liste des treize enfants abusés. Il a même montré aux enquêteurs les vidéos de ces agissements qu'il tournait à l'aide de son téléphone portable.
Le suspect a reconnu avoir choisi une profession qui lui permettait d'être en contact avec de jeunes garçons. Il travaillait depuis 18 mois à la Cité de l'enfance, mais les faits seraient récents. L'homme était en proie à un sentiment de honte entre celui qu'il aspirait être aux yeux des autres et celui qu'il était intérieurement, possédé par ses pulsions pédophiles. Après avoir été placé sous contrôle judiciaire, l'agresseur s'est donné la mort le 5 janvier dernier.
"Ce sont des enfants qui se taisent"
Néanmoins l'enquête se poursuit, qui aboutira nécessairement à un non lieu. Les enfants et le personnel sont actuellement entendus par les enquêteurs. L'affaire pénale close, c'est au civil qu'elle pourrait être jugée, si les familles se retournent contre le Département pour obtenir réparations.
Elles ont d'abord éprouvé un sentiment de colère. On peut les comprendre : certains enfants leur ont été soustraits pour être accueilli dans ce lieu sanctuaire, ce refuge pour cajoler des petits traumatisés par des carences affectives, des maltraitances voire des abus sexuels. "Certains avaient déjà subi ce type de violences avant. Ce sont des enfants qui se taisent", raconte Eric Nojac.
Le traumatisme des éducateurs
L'équipe panse ses plaies. Nombre d'éducateurs sont rongés par un sentiment de culpabilité. "Certains au début ne pouvaient pas parler. D'autres n'osaient plus faire prendre de douches aux enfants. Bien sûr qu'on a eu honte", confie le directeur.
Le suicide de Philippe S. a été une épreuve supplémentaire. "Il n'aura même pas à répondre de ses actes", s'indigne une employée. "Nous avons eu peur que ce soit un 2e choc pour les enfants qui auraient pu faire le lien entre son suicide et leur prise de parole", raconte Eric Nojac. Tous les enfants sont heureusement suivis par des psychologues. A ce jour, seul l'enfant qui a parlé a été retiré du centre. Les autres ont repris une vie normale, à la Cité. Aspirant à retrouver un quotidien paisible.
pédophileBronpédophilieEric NojacéducateurCité Enfance

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lundi 22 mars 2010

Nos écoles sont-elles à ce point vulnérables ? Un instituteur pédophile autorisé à donner cours

Le tribunal de Courtrai l’a condamné… mais pas sanctionné.
 Le cas est tout simplement incroyable.

En Flandre, un enseignant vient d’être condamné pour détention d’images pédo-pornographiques. C’est en allant faire réparer son ordinateur que l’on a découvert des photos (plus d’un million) et des vidéos (jusqu’à 3.000) mettant en scène des enfants. Si les faits sont établis, cet instituteur de 44 ans vient pourtant d’être autorisé, par la Justice, à reprendre le chemin de son école. Impossible? Le tribunal de Courtrai l’a condamné… mais pas sanctionné. Pour Chris Vandecasteele, le directeur de l’établissement scolaire où professe – professait? – l’enseignant, il n’est pas question de le voir réintégrer l’équipe pédagogique.
Nous ne partageons pas l’avis du tribunal. Nous avons donc suspendu l’enseignant de manière préventive. Et pour l’instant, il reste suspendu. C’est maintenant au conseil d’administration de décider de la marche à suivre. Une possibilité est qu’il remette lui-même sa démission. Ce ne serait pas une mauvaise idée.

Aucun danger pour les enfants?

Le juge a pourtant estimé que l’homme ne représente « aucun danger pour les enfants » puisqu’il n’y a pas eu de maltraitance physique ni d’attouchements. Un argument que ne veut pas entre M. Vandecasteele.
Moi, je me range à 100% derrière le point de vue de l’enseignement officiel et ce point de vue, c’est « peu importe qui était cet homme, il détenait des images pédo-pornographiques ». Un enseignant qui entre en contact avec ce type d’images n’a plus sa place dans notre établissement.
Le parquet de Courtrai envisage d’interjeter appel. Mais la décision du juge doit interpeller, d’autant que la suspension (qui a ses limites) de l’enseignant condamné peut être vue comme une « arme » bien faible pour éviter qu’il entre à nouveau en contact avec ses élèves. Nos écoles sont-elles à ce point vulnérables?1

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mercredi 17 mars 2010

LA PEDOPHILIE....750000 Prédateurs sexuels dans le monde

Les Infiltrés : la Pédophilie

La FRANCE deuxième pays en Europe consommateur d’images
chpédo-pornographiques, le quatrième au monde

Après plus d’une année de tournage, Les Infiltrés reviennent sur France 2. Mardi 6 avril en deuxième partie de soirée.


Le magazine d’investigation produit par CAPA et présenté par David Pujadas sera désormais diffusé toutes les semaines à partir du mois d’avril 2010. Le magazine révélera une fois de plus les agissements clandestins de certains réseaux, et les méthodes illicites de quelques institutions.


Première investigation de cette nouvelle série des Infiltrés : la pédophilie.


Selon un récent rapport des Nations Unies sur le sujet, il y aurait dans le monde plus de "750 000 prédateurs sexuels connectés en permanence sur la toile". Pendant près d’une année, l’une des équipes du magazine a mené une investigation sur ces "prédateurs sexuels" qui se servent d’Internet pour abuser d’enfants. C’est ce que les policiers appellent le phénomène du "grooming" : tout acte visant à manipuler un enfant via internet à des fins sexuelles. Phénomène inquiétant…


Selon l’association "Innocence en Danger", un enfant sur trois en France a déjà été approché par un inconnu sur internet. Utilisant les "chat" et autres messageries instantanées pour convaincre les enfants de se déshabiller et de les rencontrer, ces "prédateurs du net" font régulièrement la Une des journaux. A l’image de la tragique histoire de la jeune Karen agressée sexuellement à trois reprises par un pédophile récidiviste, qu’elle avait rencontré sur Internet en 2007.


Infiltrés au sein même de réseaux pédophiles internationaux, des reporters ont découvert le mode opératoire, et les méthodes utilisées par des milliers de pédophiles pour échanger des fichiers à caractère pédo- pornographiques.


La France serait d’ailleurs selon plusieurs services de police, le deuxième pays en Europe consommateur d’images pédo-pornographiques, le quatrième au monde


Suite à la diffusion de ce document inédit, David Pujadas recevra autour de lui, pour un débat animé, différentes autorités sur le sujet, mais aussi policiers, victimes, parents, psychiatre… pour mieux débattre d’un des plus grands tabous français.


David Pujadas : "Nous avons été nous-mêmes frappés par la facilité avec laquelle, en se faisant passer pour une mineure de 12 ans sur des sites de Tchat pour ados, notre journaliste a pu rencontrer, au grand jour, des pédophiles. Des adultes qui vivent avec un sentiment d’impunité totale. C’est comme s’il y avait un grand marché ouvert. Certains trouveront que ce reportage fait froid dans le dos… Notre vocation est de provoquer, dans le bon sens du terme. Mettre les pieds dans le plat pour faire réagir. Toutefois, si ce reportage peut avoir l’air “choc”, nous nous gardons bien de montrer des images choquantes. De nouveau, notre but est de restituer la réalité sans accabler, sans racoler".


Crédit photo © Bernard Barbereau - France 2.

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mardi 16 mars 2010

Le MODEM cautionne-t-il son représentant, Thierry NUSS ....à St MALO

Les gens sont ennemis de ce qu'ils ne connaissent pas (Imam Ali)

"Qui néglige de punir le mal, le cautionne"
(Léonard DeVinci)

Je rappelle au passage que ne pas dénoncer, quand on a un sérieux doute, c'est devenir complice et c'est passible de sanction par la loi.

DERNIERES NOUVELLES : violences policières !!!!


Rien ne sera épargné à ce père protecteur .
Après avoir envoyé une première lettre recommandée pour avertir le foyer qu'il reprenais, coûte que coûte, les visites à sa fille, Pascal .B. a dû renvoyer un deuxième recommandé avec A/R.
Le foyer n'avait pas daigné aller chercher le premier envoi.

Et c'est dans ces conditions, qu'à la réception du foyer, ce samedi 1er août, date fixée par le tribunal, Pascal .B. se voit notifier un nouveau refus de présentation d'enfant.
Raison invoquée : Pascal .B. aurait dû prévenir de sa visite !!!!!!!!
Décidément, les responsables du foyer, et THIERRY NUSS, en particulier, ne manquent pas d'air !!!

Pascal B. se rend au commissariat de St Malo, qui refuse, dans un premier temps, d'enregistrer une plainte pour non présentation d'enfant.
L'officier de police finira par abdiquer, devant l'insistance du conseil, joint au téléphone par Pascal B.
Sitôt que Pascal B. a raccroché, sur demande de l'officier de Police,
ce dernier perd rapidement son sang froid, menace , et prétend que le plaignant est alcoolisé.
Le contrôle ordonné, démontre qu'il n'en est rien, mais l'officier de police plaque Pascal B. au mur en lui criant qu'il va le mettre en garde à vue.
L'attitude du policier est hystérique, violente.

L'enrgistrement qui suit témoigne de la violence policière à l'égard du père protecteur.


Thierry NUSS Site Officiel de la Commune de Saint Père Marc en Poulet

( mailto:mmmmcontact@ville-saint-pere.fr)












Thierry NUSS délégué MODEM aurait-t-il pris, d'autorité, les fonctions de juge des enfants ou des affaires familiales ???


.Sur la seule et unique décision de Thierry NUSS, simple responsable au sein de l'association : " Le Goëland", Marine 6 ans ne peut plus voir son père depuis plus de 4 mois .



Article source Syndicat Avocat Citoyen

Thierry NUSS délégué MODEM aurait-t-il pris, d'autorité, les fonctions de juge des enfants ou des affaires familiales ???


.Sur la seule et unique décision de Thierry NUSS, simple responsable au sein de l'association : " Le Goëland", Marine 6 ans ne peut plus voir son père depuis plus de 4 mois .

Article source Syndicat Avocat Citoyen


Scandale à Saint Malo

Le Scandale se passe au sein de l'Association " Le Goéland " où Monsieur Thierry NUSS exerce la fonction de chef de service.
La petite Marine 6 ans s'est plainte à son père d'avoir fait l'objet de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.
Le père de la petite Marine (Monsieur B.) a effectué un signalement aux autorités en charge de ce genre d'affaire.
Les autorités ont estimé que la petite Marine n'avait pas dit la vérité et ont décidé en conséquence de restreindre au maximum le droit de visite du père de la petite Marine.
C'est dans ces circonstances, que par décision du 20 décembre 2007, le Juge aux affaires familiales (Madame Olivia JEORGER - GAC) a décidé que la petite Marine ne pourrait plus désormais voir son père qu'une fois pas mois pendant 3 heures, au centre " Le Goéland ".

La situation est très étonnante, le père de la petite Marine (Monsieur Pascal B.) a signalé aux autorités que sa fille se plaignait de mauvais traitement dans la famille de son ex-épouse et c'est lui qui est sanctionné par une restriction quasi totale de son droit de visite.


Mais encore, c'est sans compter sur l'intervention du chef de service de l'Association " Le Goéland ", Monsieur Thierry NUSS qui manifestement se croit tout permis.

En effet, par une lettre du 8 mars 2009, Monsieur Thierry NUSS a porté à l'encontre de Monsieur Pascal B. des accusations qui constituent des dénonciations calomnieuses :
- accusation portant sur la tenue de propos injurieux envers la mère de sa fille ;
- accusation d'avoir mis en relation téléphonique sa fille et sa grand mère ;
- accusation d'avoir pris des photos de sa fille. ( photo ci dessus)

En conséquence de quoi, Monsieur Thierry NUSS qui manifestement ne doute de rien, à cru pouvoir priver depuis plus de 4 mois la petite Marine de la possibilité de voir son père.


.
Chacun comprendra en regardant la photo ci-dessus, prise à l'Association " Le Goéland " que Monsieur Thierry NUSS manque pour le moins de bienveillance, et surtout d'objectivité.

En quoi, le fait pour un père de prendre en photo sa fille de 6 ans devant une boite de crayons de couleur, peut-il constituer un " crime " qui autoriserait telle personne en charge d'une mission de service publicNUSS) de priver ce père de voir sa propre fille et ce conformément à ce qui est prévu par une décision de justice. (Thierry

En effet, par décision de justice, le juge aux affaires familiales a prévu que Monsieur Pascal B ne pourrait rencontrer sa fille que 3 heures par mois à l'association " Le Goéland ", sans aucune motivation valable.
Monsieur Pascal B. n'a commis aucun crime, aucun délit, il a simplement signalé que sa fille se plaignait de mauvais traitements dans la famille de son ex-épouse.

Il est depuis plus de 4 mois totalement privé de la possibilité de voir sa propre fille à cause de la décision manifestement illégale de Monsieur Thierry NUSS.

Il s'agit d'une situation totalement intolérable dans une société démocratique.

En tous cas les rangs sont serrés du côté de la belle famille.
Le grand père paternel est très proche des magistrats
et avocats du secteur puisqu'il est expert.
Nous savons, par le rapport de Sophie COIGNARD,
que beaucoup de magistrats, avocats et experts,
sont francs maçons.
L'établissement géré par l'association "Le Goëland"
a été financé par le LION'S CLUB, qui comme chacun
sait, est la vitrine des franc maçons.

N'y aurait-il pas, effectivement, une espèce de collusion
pour tenter de cacher des faits graves perpétrés par
l'oncle, sur la fillette.
De toutes manières les faits, décrits par la pauvre enfant,
sont tout à fait éloquents.
Ils sont confortés par des témoignages très sérieux,
venant de maîtresses d'école, de médecins et de psychiatres.

Mais les violences ne se seraient pas arrêtées là, puisque
le grand-père pour sauver "l'honneur" de son fils, mais
aussi et surtout le sien ( !!!) aurait tenté de faire rentrer
dans le crâne de la fillette, à coup de poing, qu'il fallait
qu'elle se taise !!!!!!!!!!!!

Ce Monsieur, bien sous tout rapport, cacherait certains
dons de persuasion, face à un malheureux "bout de choux".

Il semblerait, pour s'assurer du silence de l'enfant, que les
visites du père devaient être réduites au strict minimum,
à savoir 3 heures par mois!!!!!!

Et pourquoi pas les annuler, complètement.
Cette opération est revenue au "bon" Thierry NUSS, qui
s'est investi, pour l'occasion : juge des enfants.

Le plus grave étant, qu'on n'hésite pas à sacrifier,
je dis bien : sacrifier, une petite fille de 6 ans, malgré des
souffrances physiques et morales insurmontables, qu'elle gardera toute sa vie.

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mercredi 10 mars 2010

"Ne pas signaler un enfant maltraité, c'est être complice"

Je rappelle au passage que ne pas dénoncer, quand on a un sérieux doute, c'est devenir complice et c'est passible de sanction par la loi.

Par Alexandra GUILLET, le 09 mars 2009 à 06h00, mis à jour le 09 mars 2009 à 14:42

Interview Comment un parent peut-il craquer et en venir à maltraiter son enfant ?

Que faire si l'on est face à une telle situation?

Les réponses de Gisèle Doutreligne, responsable de "Allo, enfance maltraitée"

LCI.fr : Ces derniers jours, deux affaires de maltraitance ont fait la Une de l'actualité. En Moselle, une mère a poignardée sa fille de 10 ans, et à Millau, un couple a été écroué pour avoir séquestré plusieurs années, Dylan, leur petit garçon de 7 ans. Les cas de maltraitance sont-ils en augmentation ?

Gisèle Doutreligne, responsable du 119, numéro d'appel d'Allo Enfance Maltraitée : Est-ce qu'il y a plus de cas qu'avant ou est-ce que ces situations sont simplement davantage connues ?
C'est difficile à dire.
Nous nous n'avons que les chiffres liés aux appels faits au 119.
Ils ne reflètent qu'une partie de la réalité.

En 2008, nous avons reçus plusieurs centaines de milliers d'appels qui ont abouti, après analyse de notre part, à 6300 transmissions de signalements aux conseils généraux (contre 6500 dossiers transmis en 2007).

Cela concernait en tout quelque 10 000 enfants. Charge ensuite aux départements de faire suivre soit au procureur soit aux services sociaux compétents.


LCI.fr : Avez-vous un retour d'informations par rapport aux signalements que vous faites ?

G.D. : Bien sûr car c'est très important pour nous et si jamais nous n'avons pas de retour, c'est nous qui relançons les services concernés pour savoir ce qu'il en est. Si on prend l'année 2007, par exemple, sur 6500 signalements, nous avons eu 80% de retour. Dans 65% des cas, ces dossiers ont donné lieu à une mesure nouvelle. Dans 15% des cas, les situations étaient déjà connues et ont donné lieu à un travail de consolidation.

Dans 20% des cas, aucune mesure particulière n'a été prise.

LCI.fr : Qu'est-ce qui fait qu'un jour un parent pète les plombs et passe à l'acte ?

G.D. : C'est extrêmement complexe. 

D'abord, il y a des parents sadiques, qui prennent plaisir à faire souffrir leur enfant. 

C'est heureusement une minorité mais cela existe.

Mais dans la majorité des cas, il s'agit de parents qui n'arrivent pas à se contenir. Tout parent excédé peut avoir envie de jeter son enfant par la fenêtre. Le penser c'est normal, le faire, en revanche, ne l'est pas. Ce qui le font sont souvent fragilisés pour une ou plusieurs raisons. Ce qui revient le plus, c'est la solitude. Il s'agit souvent d'un parent isolé de son contexte social et familial. Isolé ne veut pas forcément dire célibataire, mais plutôt qui n'a pas de parents, ni de frère ou de sœur ou de proches amis autour de lui qui puissent le relayer quand il est fatigué. C'est l'isolement aussi dans le regard que son entourage peut porter sur ce qu'il fait avec son enfant. Quand on a un entourage étayé, il y a une régulation interne qui se fait naturellement. On peut dire tiens là "tu lèves la main un peu fort", "moi je ferai comme ceci" etc... Mais s'il n'y a pas cet accès à la famille et à l'enfant, c'est là que c'est dangereux.
LCI.fr : La France traverse une période de crise, le chômage remonte. Cela peut-il être un facteur aggravant ?
G.D. : En soit, les difficultés sociales, familiales ou de précarité n'entraînent pas de la maltraitance sur un enfant. Il faut être bien clair là-dessus : ce n'est pas parce que l'on se retrouve au chômage qu'on va tomber dans la violence. Mais cette situation peut être un facteur aggravant dans la mesure où cela créé de l'amertume, des difficultés à boucler les fins de mois. Certains perdent leur appartement. La quintessence pour une famille, c'est de se retrouver en hôtel meublé. C'est tout petit, c'est la promiscuité, il n'y a plus d'intimité. Tout est là pour que l'on s'exaspère mutuellement.
LCI.fr : Qui vous appelle ?


G.D. : Si on prend le deuxième semestre 2008, sur 14 500 appels, 31,5% (4576) émanaient d'un père ou d'une mère en détresse. Cela fait 19 ans que le 119 existe. Nos équipes de psychologues et de médecins les conseillent en direct pour les empêcher de passer à l'acte quand ils sont épuisés. Si on sent que la situation set trop critique, nous envoyons sur le champ la police, sinon, on met en place en urgence un suivi avec le département. Après les parents, ce sont les grands-parents qui appellent le plus (7,84). Les beaux-parents représentent 1,9%. Viennent ensuite les oncles et tantes, les voisins, les instituteurs etc...


LCI.fr : Dans une interview récente, Nadine Morano, secrétaire d'Etat à la famille, disait que depuis le mois de juin dernier, 30 enfants sont morts sous les coups de leurs parents. C'est effrayant...

G.D. : Ces chiffres sont peu médiatisés, voire tabous.

Je ne les ai d'ailleurs pas, mais je suppose que madame Morano les a de source bien informée. On sait que la famille est le lieu de protection de l'enfant, 
mais aussi le lieu privilégié pour la maltraitance. 

Comme la vie privée est très protégée, et à juste titre, c'est très difficile d'intervenir en son sein.


LCI.fr : Où commence la maltraitance ?

G.D. : Je parlerais plus de dangers. 

Plusieurs sont prégnants : violences psychologiques et physiques, négligences graves, et violences sexuelles.

Une négligence grave, c'est être dans l'impossibilité de pourvoir aux conditions de base d'un enfant. Ne pas le nourrir, ne pas l'habiller comme il faut en fonction des saisons, ne pas le scolariser, ne pas respecter son sommeil, etc...

Les violences psychologiques, cela peut être des vexations permanentes ou la privation de la lecture personnelle de son courrier ou le dénigrement systématique de personnes aimées de l'enfant. 

Mais attention, il est important que tous ces gestes soient remis dans leur contexte et analysés au regard de l'âge de l'enfant.
On ne doit pas frapper un enfant, mais mettre une gifle à une jeune fille de 16 ans qui vient d'insulter gravement sa mère n'est pas à mettre en perspective avec un enfant de trois ans qui aurait fait une bêtise.

LCI.fr : Si une personne a des doutes sur un enfant, qu'il soit de sa famille ou de son immeuble par exemple, que doit-elle faire ?

G.D : Il faut qu'elle appelle ! Signaler ce n'est pas dénoncer, c'est protéger.

La personne qui appelle va dire ce qu'elle a vu ou entendu. 

Avec les éléments qu'on nous donnera on sera capable de savoir rapidement s'il s'agit d'un voisin qui veut se venger (mais c'est très rare), ou s'il y a peut-être un vrai problème et que la personne qui appelle a peur d'en parler directement avec les parents concernés. 

Je rappelle au passage que ne pas dénoncer, quand on a un sérieux doute, c'est devenir complice et c'est passible de sanction par la loi.


Par Alexandra GUILLET le 09 mars 2009 à 06:00

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dimanche 7 mars 2010

Fillette enlevée et violée dans le Gard: "Si tu parles, si tu cries, je te tue" APPEL à TEMOINS des DYSFONCTIONNEMENTS JUDICIAIRES  « Les enfants ne sont pas protégés » Nous sommes déjà nombreux, venez nous rejoindre, les enfants qui dévoilent le secret de famille sont victimes, isolés, maltraités


Fillette enlevée et violée dans le Gard: "Si tu parles, si tu cries, je te tue"

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Par tian
le 07/03/2010 à 11:53, vu 6352 fois, 34 nombre de réactions
Info d'un posteur invité par la rédaction Le Post.




Gérard L., 48 ans, est soupçonné d'avoir enlevé et violé la fillette de sa voisine, dans la nuit de mercredi à jeudi, à La Grand-Combe, dans le Gard.
La fillette, âgée de 8 ans, a été sauvée par un homme qui participait aux recherches.
L'enfant venait de vivre sept heures de cauchemar.
Le violeur présumé a été interpellé quelques minutes après par les gendarmes.
Il avait déjà été condamné à deux reprises pour des faits à caractère sexuel, rappelle Le Parisien.
Il a été mis en examen pour « enlèvement, séquestration de mineur et viol ».
Vendredi soir il a été incarcéré.

Dans Le Parisien, Rosemonde, la maman de la fillette, dit que son voisin, le violeur présumé, « était très gentil. Toujours souriant, poli, très bien en apparence ».

Mercredi Gérard L. est venu frapper à la porte de Rosemonde, vers 18h 30, en lui précisant que la fillette « pouvait aller jouer sur Internet » chez lui.
A 20 heures, ne voyant pas sa fille revenir, Rosemonde est allé chez le voisin.
« En ouvrant la porte, j'ai pris peur, j'ai tout de suite pensé au drame. Et je m'en suis voulu, car je me suis dit que j'avais jeté ma petite dans la gueule du loup » confie la maman de la jeune victime.
La fillette a précisé à sa mère qu'elle « avait été abusée juste en dessous de la maison, chez Gérard ».
Puis le violeur a voulu aller au cimetière.
Un cimetière qui se trouve juste derrière la maison.
« Là ils se sont cachés pendant des heures » rapporte Rosemonde.

La fillette a été ainsi séquestrée dans ce cimetière jusqu'à jeudi, trois heures du matin.
Rosemonde dit que l'enfant ne pouvait pas crier car elle était menacée par son agresseur avec un couteau:
« Il lui disait: "Si tu parles ou si tu cries, je te tue" »

La fillette a été « séquestrée dans le cimetière où son père est enterré depuis un mois » confie Rosemonde.

Une maman qui dit que le violeur présumé avait l'intention de prendre le train du matin et de s'enfuir avec l'enfant:
« Si ma fille n'avait pas été découverte, je ne l'aurais jamais revue, j'en suis sûre ».



(Source: Le Parisien)

A lire sur LePost.fr:
- Fillette enlevée dans le Gard puis retrouvée dans un cimetière: que s'est-il passé?
- Fillette enlevée dans le Gard et retrouvée dans un cimetière: "Elle a été abusée"

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ENFANTS EN DANGER ,C'EST LE RÔLE DES ELUS DE REPERER DANS LEUR COMMUNE, LES FAMILLES....... EN ILLE-et - VILAINE COMME AILLEURS, LE NOMBRE NE CESSE D'AUGMENTER

Ouest-France

Ille-et-Vilaine, BRETAGNE-

  2 600 enfants en danger placés dans le département 

 Ils sont 20 % de plus en trois ans. Le nombre d'enfants en danger ne cesse d'augmenter en Ille-et-Vilaine comme ailleurs. Est-il possible d'agir avant qu'il ne soit trop tard ?


 Enquête Un enfant en danger, c'est quoi ?

Selon l'Observatoire national de l'action sociale décentralisée (Odas), l'enfant maltraité est un « enfant victime de violences physiques, psychologiques, sexuelles ou de négligences graves ayant des conséquences sur son développement psychique et physique ». Sans être maltraités, certains vivent dans des conditions qui mettent en danger leur éducation, mais aussi leur sécurité et leur moralité.
Quel est le profil sociologique d'une famille d'enfant en danger ?
De l'avis des professionnels, il est très varié. Concernant les violences physiques, psychologiques et sexuelles, tous les milieux sociaux sont concernés. En Ille-et-Vilaine, on note la prédominance, à quasi-égalité, des femmes qui élèvent seules leurs enfants et des familles avec un père et une mère. Les premières se retrouvent souvent dans une grande précarité et isolée. Les secondes vivent des divorces très conflictuels, quel que soit le milieu.
Viennent ensuite les familles recomposées et les pères seuls. Loin derrière. Par contre, concernant les graves carences éducatives, médicales ou affectives, elles sont plus notables dans les milieux défavorisés.
Comment améliorer le signalement ?

Sans doute en sensibilisant davantage les bailleurs sociaux qui ont une quantité d'informations importantes.

Mais aussi en rappelant aux élus que c'est leur rôle de repérer dans leur commune, leur quartier, les familles en difficulté et les aider.

Le conseil général d'Ille-et-Vilaine a, par exemple, mis en place une visite médicale obligatoire dans les écoles maternelles. Au-delà des conditions physiques, l'état psychologique de l'enfant est évalué : est-ce qu'il parle ? Est-ce qu'il va vers les autres ?... 12 102 enfants ont été vus en 2009. 5 à 6 % d'entre eux ont nécessité une rencontre avec la famille par la suite.
Pourquoi les solutions de placements se font rares ?
Le conseil général, qui a pour obligation d'assurer cet accueil, ne peut pas démultiplier le nombre de places. En Ille-et-Vilaine, il existe 18 structures et 850 familles accueillent des enfants. Ce dernier chiffre stagne. Malgré une plus grande professionnalisation des assistantes familiales, ça reste un métier difficile.
Et l'accueil d'urgence ?
Normalement, le centre départemental d'accueil d'urgence, à Chantepie près de Rennes, répond 24 heures sur 24. Mais parfois le taux d'occupation atteint les 120 % d'occupation... Du coup, une réponse intermédiaire se développe : le placement à domicile. L'enfant retourne dans sa famille avec un suivi très rapproché de l'éducateur.
Et l'enfant délinquant ?
C'est toujours un enfant en danger. Certaines situations dans son milieu familial et environnemental vont l'amener à se rebeller, se révolter. Il y a ceux qui vont faire la bonne rencontre mais dont on ne parle pas, et ceux qui vont se rattacher à une bande, vouloir s'y affirmer, s'y construire et se retrouver, au final, devant le tribunal. Avec le placement, les juges et les travailleurs sociaux espèrent enrayer le processus en apportant un cadre à ce mineur.
Alexandra BOURCIERet Samuel NOHRA.
Ouest-France

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jeudi 4 mars 2010

Le procureur croyait qu'un greffier l'avait volé

Ouest-France
Actualité Ille-et-Vilaine
mardi 04 septembre 2007

Le procureur croyait qu'un greffier l'avait volé


RENNES. - Ambiance tendue, hier, à l'audience d'installation de huit magistrats au tribunal de grande instance de Rennes. Le président expose les grandes options de sa juridiction. Puis, le procureur s'apprête à prendre la parole. Alors, les trente greffiers se lèvent et sortent. Grand froid dans la salle. Un tract est distribué pour expliquer cette colère.
Lundi 20 août, à la cité judiciaire, Hervé Pavy, procureur de la République, s'aperçoit qu'il n'a plus son portefeuille. Il se précipite vers les toilettes, au 4e étage, où il pense l'avoir laissé, sur les lavabos. Il croise un greffier qui sort des WC. À l'intérieur, pas de portefeuille. C'est la police qui le retrouvera, quelques heures plus tard, dans les toilettes du rez-de-chaussée. Mais les 250 € qu'il contenait ont disparu.
Le lendemain, mardi, le greffier est prié de suivre des policiers au commissariat. Ils le soupçonnent d'avoir volé l'argent. Le greffier nie vigoureusement. Une perquisition est effectuée à son domicile. Après sept heures de garde à vue, il ressort libre, mais les poursuites ne sont pas interrompues.
Elles le seront quand, au terme d'une enquête exemplaire, la police interpelle le coupable, à Lille. Le 20 août, ce voleur récidiviste est à la cité judiciaire. Il veut voir un avocat, mais se trompe d'étage. Au parquet, il voit le bureau du procureur ouvert, remarque la veste sur le fauteuil et dérobe le portefeuille. Il descend au rez-de-chaussée, vole les 250 € et jette le portefeuille dans la réserve d'eau des WC.
ll a avoué les faits et ses empreintes ont été relevées sur le portefeuille.
« Nous aimerions qu'il parte »
Hier, Chantal Noblet, déléguée régionale d'UNSA justice, a dénoncé « la volonté d'accuser un collègue sans preuve, tout simplement parce que le procureur a croisé le greffier en sortant des WC. Mobiliser quatre enquêteurs pour rechercher un portefeuille, c'est du jamais vu. Personne ne veut plus travailler avec lui ».
Hervé Pavy, pour sa part, dit qu'il comprend la solidarité des greffiers. Mais, dans cette affaire, il s'estime victime : « J'ai été informé au fur et à mesure de la procédure que je n'ai, bien sûr, pas menée moi-même. J'ai présenté par courrier mes excuses au greffier, victime d'un malheureux enchaînement de circonstances. »
Serge LE LUYER.


Ouest-France

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lundi 1 mars 2010

ENFANT EN DANGER

AVEC LE NOMBRE D 'AFFAIRE EN COURS, 
LE DANGER EST GRAND »


« L’enlèvement parentale est légitime lorsque sous couvert officiel de l’autorité parentale, le parricide est commis
Nice, Aix-En-Provence, Faits-divers

LE TEMPS DONNE RAISON A RACHIDA DATI QUI MIT EN 2007 LES MAGISTRATS EN GARDE DES TENTATIVES DE RENDRE JUSTICE SOIT-MÊME LORSQUE LES JUGES DEVIENNENT DES SOURDS


"Il ne supportait pas la séparation et reprochait à son ancienne compagne de ne pas le laisser voir leur
enfant", dont il avait la garde trois week-ends par mois, a
précisé Élise Naigeon, substitut du procureur de Créteil."
A t-il été entendu?"

Des parents diaboliques trouvent toujours une solution pour inverser les rôles et transformer leur statut de « coupable en victime ».
Ces manipulateurs arrivent même à manipuler et convaincre les professionnels de tous genres, cela est prouvé et démontré par des experts de la justice ou du corps médical.
Pendant ce temps, l’enfant manipulé, formaté, victime d’aliénation parentale  parvient en quelques mois à rejeter l’autre parent. 

Liberté de se taire pour faire valoir ses droits ?

- Égalité
pour celui qui a le plus de moyens financiers, lorsque l’on refuse à une maman l’aide juridictionnelle avec des revenus de 780 € par mois ?
-Lorsque l'on fixe 100 Euros de contribution, 250 Euros de frais de voyage à un père qui a 450 Euros de revenu
-Lorsqu'une décision de justice est prise sans avoir inviter un parent à se défendre

- Égalité ?
alors que certains avocats refusent l’aide juridictionnelle, ou d’autres ne se présentent pas le jour de l’audience car ils ne sont pas réglés ou lorsqu'ils se constituent et se dessaisissent la veille de l'audience et que pourtant le magistrat statut en confirmant un débat contradictoire, (Juge Falcone Aix en Provence),

lorsque c'est le juge qui appelle la mère à aller se cacher,
lorsque c'est le juge qui appelle l'avoué de justice à ne pas défendre un tel ou tel qui est la plupart du temps, (noir, arabe, juif ou étranger)
L’Aide Juridictionnelle,  pour ces derniers, ne paie pas les frais qu’ils engagent pour ces dossiers.
L'aide juridictionnelle n'est pas la preuve qu'un justiciable est un Rmiste
Cacher l'adresse d'une partie

En France même, des  pères biologiques, ne parviennent pas à  voir leurs enfant  en toute impunité lorsque la collusion joue avec la mémoire courte.

Si vous êtes américain ou Russe, les autorités réagissent vite.
Si vous êtes africain, personne vous répond
Si vous avez la peau noir et votre femme la peau blanche, aucun journaliste ne vous répond non plus

Peu intéressé par l’intérêt de l’enfant le plaisir de faire durer des années les procédures pour empêcher l’enfant de voir sa famille, ce pourquoi la France est régulièrement condamnée par la Cour Européenne pour des procédures trop lentes.
Avec le nombre d’affaire en cours, le danger est grand.


« « Si vous avez la peau noir et votre femme la peau blanche, aucun journaliste ne vous répond non plus » »

SI VOUS AVEZ LA PEAU BLANCHE ET VOTRE FEMME LA PEAU BLANCHE, IL Y A LE MËME PROBLEME
aucun journaliste ne vous répond non plus » »

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